La réserve écologique du pin rigide
Publié: 16 Avr 2013, 18:53Jeudi, le 4 avril dernier, j'ai eu à aller à Montréal et, en revenant vers Sherbrooke, j'ai décidé de faire un « détour » à la réserve écologique du pin rigide, à 25 kilomètres au sud de Beauharnois, en Montérégie. Cette réserve écologique est le seul endroit connu au Québec où pousse cette espèce de pin. Leur découverte remonte à la fin des années 1950.
J'y ai passé un beau moment. Le temps était particulièrement agréable et clair durant cette belle journée de printemps.
Je pensais pouvoir y trouver un bon nombre de cônes toujours fermés,puisque l'on dit que cette espèce nécessite l'aide de feux de forêts, afin de libérer les semences contenues dans les cônes. Eh bien, il faut croire que ce n'est pas toujours nécessaire, puisque je n'ai trouvé aucun cône fermé... J'ai quand même réussi à mettre la main sur quelques cônes qui contenaient toujours quelques semences, mais rien pour raconter à sa mère comme on dit !
Tout de même, l'endroit valait le détour. J'y étais allé au début de l'année 2007, mais, comme vous pouvez le voir, ça faisait un petit bout de temps. Le secteur est très agréable et peu fréquenté à ce que j'ai pu voir. Il n'y a aucun grand centre urbain à proximité. C'est quand même étonnant de voir ce peuplement homogène de pins rigides qui est là, entouré d'érablières et de plantations résineuses. Je me demande vraiment comment ils sont arrivés là et je vois mal comment les Amérindiens auraient pu y contribuer cette fois-ci ! Et de toute façon, quel aurait été leur intérêt à planter du pin rigide ? Peu importe, ils semblent être là pour rester, étant donné qu'ils sont protégés et qu'on retrouve des individus à tous les stades de croissance. En ce qui concerne le sol, il est tantôt spongieux, à l'image d'une tourbière, et tantôt sec et pauvre avec des affleurement rocheux. Au travers de tous ces pins rigides, on trouve parfois quelques intrus pins blancs. La réserve fait 66 hectares.
Voici des clichés de la réserve en question.
J'y ai passé un beau moment. Le temps était particulièrement agréable et clair durant cette belle journée de printemps.
Je pensais pouvoir y trouver un bon nombre de cônes toujours fermés,puisque l'on dit que cette espèce nécessite l'aide de feux de forêts, afin de libérer les semences contenues dans les cônes. Eh bien, il faut croire que ce n'est pas toujours nécessaire, puisque je n'ai trouvé aucun cône fermé... J'ai quand même réussi à mettre la main sur quelques cônes qui contenaient toujours quelques semences, mais rien pour raconter à sa mère comme on dit !
Tout de même, l'endroit valait le détour. J'y étais allé au début de l'année 2007, mais, comme vous pouvez le voir, ça faisait un petit bout de temps. Le secteur est très agréable et peu fréquenté à ce que j'ai pu voir. Il n'y a aucun grand centre urbain à proximité. C'est quand même étonnant de voir ce peuplement homogène de pins rigides qui est là, entouré d'érablières et de plantations résineuses. Je me demande vraiment comment ils sont arrivés là et je vois mal comment les Amérindiens auraient pu y contribuer cette fois-ci ! Et de toute façon, quel aurait été leur intérêt à planter du pin rigide ? Peu importe, ils semblent être là pour rester, étant donné qu'ils sont protégés et qu'on retrouve des individus à tous les stades de croissance. En ce qui concerne le sol, il est tantôt spongieux, à l'image d'une tourbière, et tantôt sec et pauvre avec des affleurement rocheux. Au travers de tous ces pins rigides, on trouve parfois quelques intrus pins blancs. La réserve fait 66 hectares.
Voici des clichés de la réserve en question.