Excusez de faire dévier un peu le sujet, mais il rejoint exactement une préoccupation que j'ai ces temps-ci. J'ai une centaine de jeunes chênes rouges, dont les glands proviennent de Bernard Contré, que je destinais à naturaliser sur la terre de mon père, dans Charlevoix. Cependant, il y a chez les voisins quelques chênes rouges indigènes (j'en ai même transplanté trois, avec la permission du voisin évidemment
À ma connaissance, il y en a très peu dans le secteur, et je ne sais pas où sont les géniteurs du voisin (mais il est bûcheron, et je sais qu'Il en a coupé un énorme dernièrement
), je ne peux donc avoir de glands, et je tiens beaucoup à avoir cette espèce. Alors je doute : selon vous, est-ce que je fais une bêtise en introduisant ces chênes? La situation est-elle la même dans ce cas que dans celui d'une plante très rare comme le ginseng? Que feriez-vous à ma place?