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Il faut être sensibilisé par la disparition des plantes....Espèces floristiques menacées au Québec
Exemple.. Ariseama dragontium et Podophyllum peltatum

Sauf que lors d' une visite d' un centre d' enseignement au centre du Québec..nous avons visité le dépot d' un ***herbacetum** .. collection de plantes pour montrer au prof son travail..
Intéressant sauf qu' il avait plus de 300 bulbes d' Ariseama dragontium séché avec la tige..
Il vous est interdit de presque regarder cette plante aujourd' hui parce que très très rare.
Cet collection fut monter sur plus de 20-30 ans et l' on ne se rendit pas compte de la cause de sa disparition..Il faudrait décerner une médaille au prof. pour son travail de responsabilité..

Le second concerne le Podophyllum peltatum que l' on mentionne en danger de disparition..

Sur un dépot en arrière d' un jardin ( Mtl ), il y avait plus de 600-800 tiges arrachée et jeter au déchet.. un très bon tas..

Que l' on ne vienne plus me mentionner l' importance de la protection des plantes en voie de disparition alors que l' on pourrait très bien relocaliser l' ensemble de ses plantes plutot que de les jeter au déchet tel qu'il fut fait dans la semaine qui suivit..Un simple avis à un groupement forestier et il y aurait eu preneur..

............................................
Et l' on vous interdit de multiplier l' ail des bois .. tel que proposer par un groupe de jeunes l' an passé par culture In vitro....
Le projet aurait très bien pu fonctionner mais là encore un blocage d' un organisme **que je nommerais ..bidon..**
Ses espèces ne sont pas en danger au Québec, ce sont les idées qui manquent...

Je relocalise plus de 5 espèces identifiées très rares à chaque année. Il ne suffit pas de dire qu' elles sont rares , il faut les multiplier et les relocaliser..
Bilan de mon travail que j' ai donné pour relocalisation forestière..
Plus de 300 Podophyllum peltatum, 200 Arseama dracontim, 50 Hydrastis canadensis,
200 Allium tricoccum, 50 Asclepias tuberosa et d' autres..
On m' a même mentionné l' interdiction même de les donner ...Essayer de comprendre la logique de tout cela..Je les multiplie pour les rendre plus présentes..
Il y a des idées ( des coups de pieds ) qui se perdent...
Il y aurait lieu de revoir la notion de base de cet organisme..Multiplier des plantes c'est facile si elle deviennent rares sauf si l' on veut s' en départir...on a souvent qu' à les observer..

C'est un constat plutôt réel qui fait du sens hendy!

Personnellement, connais-tu ou l'on pourrait trouver le Podophyllum peltatum naturellement??

Sur le Mont Royal à Montréal il y a un petit enclos clorturé contenant quelques plants de Podophyllum peltatum..

hendy a écrit:Que l' on ne vienne plus me mentionner l' importance de la protection des plantes en voie de disparition alors que l' on pourrait très bien relocaliser l' ensemble de ses plantes plutot que de les jeter au déchet tel qu'il fut fait dans la semaine qui suivit..Un simple avis à un groupement forestier et il y aurait eu preneur..

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Et l' on vous interdit de multiplier l' ail des bois .. tel que proposer par un groupe de jeunes l' an passé par culture In vitro....
Le projet aurait très bien pu fonctionner mais là encore un blocage d' un organisme **que je nommerais ..bidon..**
Ses espèces ne sont pas en danger au Québec, ce sont les idées qui manquent...

Je relocalise plus de 5 espèces identifiées très rares à chaque année. Il ne suffit pas de dire qu' elles sont rares , il faut les multiplier et les relocaliser..
Bilan de mon travail que j' ai donné pour relocalisation forestière..
Plus de 300 Podophyllum peltatum, 200 Arseama dracontim, 50 Hydrastis canadensis,
200 Allium tricoccum, 50 Asclepias tuberosa et d' autres..
On m' a même mentionné l' interdiction même de les donner ...Essayer de comprendre la logique de tout cela..Je les multiplie pour les rendre plus présentes..
Il y a des idées ( des coups de pieds ) qui se perdent...
Il y aurait lieu de revoir la notion de base de cet organisme..Multiplier des plantes c'est facile si elle deviennent rares sauf si l' on veut s' en départir...on a souvent qu' à les observer..

Ce que tu me dis m'interpelle beaucoup. Moi aussi je pense comme ça. Pourquoi faudrait-il, une fois qu'une plante est déclarée menacée, la regarder tranquillement disparaître sans y toucher tout en étant terrassé par sa disparition?

La logique simple de base devrait être:
L'humain détruit la nature?
L'humain répare la nature!

Voila!